mardi 22 octobre 2019

Seven, Anthony Bruno

Résumé :
L'inspecteur Somerset est, à sept jours de la retraite, un vieux flic blasé. Obligé de former son ambitieux remplaçant, Somerset fait équipe avec le jeune inspecteur David Mills. Tous deux arrivent sous une pluie battante dans un lieu où un crime machiavélique vient d'être commis. En effet, un criminel anonyme a décidé de commettre sept meurtres basés sur les sept péchés, capitaux énoncés dans la Bible : la gourmandise, l'avarice, la paresse, l'orgueil, la luxure, l'envie et la colère. Tandis que Somerset et Mills, remontent la piste du serial killer, ils plongent dans l'univers de plus en plus malsain de ce criminel astucieux et méticuleux, qui se fait appeler John Doe. A la découverte de chaque meurtre et de chaque indice laissé volontairement par le tueur, les inspecteurs reconstituent le puzzle...

Mon avis :
J'ai lu ce roman car j'adore le film et je voulais me replonger dans l'univers de ce thriller. J'ai reçu ce roman pour mon anniveraire de la part de mon chéri et je l'en remercie encore.

Concernant le fond, j'ai adoré retrouver cette histoire. J'avais oublié quelques éléments du film, et j'ai pris plaisir à les redécouvrir.
Le tueur en série va s'évertuer à punir des personnes qui selon lui commettent chacun l'un des sept pêchés capitaux.

Si vous cherchez un roman mettant en scène le vice et la violence psychologique dont l'humain est capable, ce roman est parfait.

Ce roman est rythmé, il suit fidèlement le scénario du film, on ne s'ennuie pas une seconde !

Les personnages sont très attachants. De plus grâce au film je mettais le visage de Morgan Freeman sur Somerset, j'aime beaucoup ce personnage.

Concernant la forme, une seule remarque, j'ai relevé pas mal de coquilles, ce que j'ai trouvé dommage !

Pour conclure, je vous recommande chaudement cette novélisation. A combiner avec le visionnage du film mais pour une expérience complète !


Anthony Bruno, Seven, Pocket, 252 pages. D'après le scénario de Andrew Kevin Walker. Traduit de l'américain par Jacques Guiod.

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